Diégèse


samedi 17 mars 2001




2001
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Comme le temps passe : 2001 = 2000 + 1










La fête passée me donnait la nausée, nous ne voulions plus danser et je me rappelle que nous étions partis ensemble et que nous nous aimions presque et je t'aimais. Je me rappelle les lumières sombres à la sortie, un peu de rouge, la vie était plus légère ou elle ne l'était pas. tu venais avec moi et je pouvais sentir parfois, à quelques pas plus proches, qui te rapprochaient de moi, un peu de ce parfum que je croyais définitif et qui n'était qu'un cadeau sans importance qui allait vite s'épuiser sous les assauts de l'été.















Nogent-sur-Marne était pimpante et la maison très accueillante. Je suis arrivé en sueur, fatigué par la pente et le chemin sous le bois. Au départ, il faisait moins beau et j'étais fatigué. Le soir se couche avec moi, quand tu m'appelles et je voudrais déjà dormir. Je ne vois rien à envier dans les mots que tu me donnes, puisqu'avec patience tu me gardes et tu m'évites car tu évites mon désir et tu évites mes peurs. Je me rappellerai bien combien tu m'as fatigué et tu m'as donné à douter. Dans le jour qui s'est donné à rire, qui s'est donné à penser, où tous les tours de roue m'ont un peu éloigné de toi et de ta vie qui parle de tout, de rien, d'autre chose que de moi.
17 mars















2000