Je regarde tes yeux et je rêverai de tes yeux la nuit, je regarde et je pourrais pleurer en t'embrassant et chacun de tes gestes me rend amoureux et me peine.
| Diégèse | |||||||||
| vendredi 19 octobre 2001 | 2001 | ||||||||
| ce travail est commencé depuis 658 jours (2 x 7 x 47 jours) | et son auteur est en vie depuis 15111 jours (32 x 23 x 173 jours) | ||||||||
| ce qui représente 4,3544% de la vie de l'auteur | quatre-vingt-quatorze semaines d'écriture | ||||||||
| hier | L'atelier
du
texte |
demain | |||||||
| Comme le temps passe : 2001 = 2000 + 1 | |||||||||
| Ce sont toujours les sonneries qui rythment cette vie, qui la délimitent et lui donnent ou lui enlèvent un peu de courage, un peu de vie, tendre, avec des caresses et puis rien. Je t'imaginais en Égypte, au Caire, marchant doucement dans une poussière si présente, si fine, que je ne me rappelle plus en Égypte, que la poussière moite, et le bruit aussi. | |
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| L'énervement
qui monte au long du jour, qui donne de la sueur après tous les
déplacements et puis la vie, et puis je ne sais quoi te dire, qui
descend et qui monte, avec si peu de désir que j'ai froid, et j'ai
froid encore comme tu me quittais, comme si. Je regarde tes yeux et je rêverai de tes yeux la nuit, je regarde et je pourrais pleurer en t'embrassant et chacun de tes gestes me rend amoureux et me peine. |
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| 19 octobre | |||||||||
| 2000 | |||||||||