Diégèse |
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lundi
30 octobre 2006 |
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2006 |
ce
travail est commencé
depuis 2495
jours (5 x 499 jours) |
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et
son auteur est en vie
depuis 16948 jours
(22 x 19 x 223 jours) |
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ce
qui représente 14,7215%
de la vie de l'auteur |
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hier |
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L'atelier
du
texte
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demain
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avant
le texte |
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le
texte |
Il
n'y a rien de nouveau, il n'y a rien de bien nouveau, il n'y a pas
grande
nouveauté dans le début de l'automne qui fait que l'on
présente toujours l'automne comme une période de transition
alors que c'est une saison parfaitement déterminée, que c'est
peut-être la saison la mieux déterminée de toutes les
saisons déterminées. Il y a l'espoir. Il y a
ces espoirs
d'ailleurs, ces espoirs d'autre chose, ces espoirs d'autrement. Il
y a l'idée que la nature enseigne quelque
chose. |
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Gustav : nous
serons donc sans référence. Nous resterons silencieusement
sans référence, sans cet espoir qui ne fait rien dire, qui
ne fait rien. Nous serons sans récit, sans le récit du jour,
sans le récit de la nuit. Nous resterons tous les trois, sans rien.
Noëmie : et pourtant de
nouveaux visages se dessinent dans ma tête.
Mathieu : et pourtant, il
y a le jardin et
le jasmin qui embaume. |
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après
le
texte |
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Il est toujours
possible
que les personnages s'enfuient, s'enfoncent, s'évanouissent dans
la fiction. Il
est toujours possible que la fiction engloutisse les personnages
et qu'il ne reste plus à l'auteur que quelques références
que l'on aurait voulu éviter. |
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30 octobre |
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2005 |
2004 |
2003 |
2002 |
2001 |
2000 |
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Je
voudrais lire le récit de nuits sans violence. |
La
nature m'enseigne quelque chose. |
Au
clair. |
Il
y a cet espoir, en vain, qui ne me fait rien dire. |
C'est
dans ce récit-là qu'il faut ne rien dire. |
Des
visages nouveaux se dessinent dans ma tête. |