Diégèse


mardi premier avril 2008




2008
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La littérature
La photographie
Il pleut ou il ne pleut pas sur le boulevard Richard-Lenoir, près de Bastille. Les couleurs pourraient être des couleurs.
Gustav Mathieu
Noëmie
D.





Je n'arrête pas d'écrire ces jours. Venise me revient en tourbillon dès que je suis à Paris, la ville évanouie, longée sans cesse par ses lidos, une Italie qui n'en revient pas.

Nous ne sommes pas allés à Venise. Il n'y avait rien d'autre que de la solitude.








Nous sommes quand même allés à Venise. Sans cette interprétation-là, ce serait terrible en effet, ce serait une terrible solitude. Nous sommes donc allés à Venise. C'était notre temps de Venise, comme un infini.



Il n'y a pourtant pas ici de progrès à l'infini.


Il y avait ce temps du désir enfermé. Le temps ne connaît pas de pause.






Poisson d'avril !











premier avril








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Le temps ne connaît pas de pause. Sans cette interprétation-là, ce serait terrible, ce serait une terrible solitude. Poisson d'avril ! Il n'y a pourtant pas ici de progrès à l'infini. Le désir enfermé. Venise me revient en tourbillon dès que je suis à Paris, la ville évanouie, longée sans cesse par ses lidos, une Italie qui n'en revient pas. Il n'y avait rien d'autre que de la solitude. Je n'arrête pas d'écrire ces jours.