Diégèse


jeudi 3 avril 2008




2008
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La littérature
La photographie
Il faudrait pouvoir retrouver plus souvent cette gare perdue qui garde les trains de nuit.
Gustav Mathieu
Noëmie
D.
C'est sans doute bien. Je n'en finis plus de voir Paris et de comparer indécis cette idée, ces souvenirs et une Italie d'hiver qui me glace au souvenir. Et pourtant les journées restent blanches.





C'est le temps.



Le temps dégradé.







Il est difficile, il est trop difficile de savoir vraiment ce qui se dit.






C'est le moment pénible où les personnages comprennent qu'ils sont enfermés, qu'ils sont fixés là et qu'il va falloir qu'ils nouent puis dénouent quelque chose, quelque chose qui ressemble à une histoire, quelque chose qui puisse susciter de l'intérêt, car ils sont là.



Si au contraire il ne se rencontre en moi aucune idée qui soit telle, je n'aurai absolument aucun argument qui me rende certain de l'existence d'aucune chose différente de moi.


Tu habites le fil de ces textes et de ce temps qui me passe.



Je ne sais pas de quels textes tu parles. On se retrouve dans le centre ?









Ce temps qui me passe.












3 avril








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On se retrouve dans le centre ? C'est le moment pénible où les personnages comprennent qu'ils sont enfermés, qu'ils sont fixés là et qu'il va falloir qu'ils nouent puis dénouent quelque chose, quelque chose qui ressemble à une histoire, quelque chose qui puisse susciter de l'intérêt, car ils sont là. Il est difficile, il est trop difficile de savoir vraiment ce qui se dit. Si au contraire il ne se rencontre en moi aucune idée qui soit telle, je n'aurai absolument aucun argument qui me rende certain de l'existence d'aucune chose différente de moi. Le temps dégradé. Je n'en finis plus de voir Paris et de comparer indécis cette idée, ces souvenirs et une Italie d'hiver qui me glace au souvenir. Et pourtant les journées restent blanches. Tu habites le fil de ces textes et de ce temps qui me passe.