La littérature
| La photographie
| Gustav
| Mathieu
| Noëmie
| D.
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Plus le temps
approche de
partir vers la villa Arson, plus le temps approche de
faire se rencontrer
la fiction, les fictions, avec ce qui sert de réel, plus il y a
d'inquiétude, de cette inquiétude de l'enfance, de cette
inquiétude irrémédiable de l'enfance. Il y a aussi
que ce projet est
laborieux.
Il y a cette autre inquiétude de ne pas pouvoir continuer, que ce
soit trop compliqué, que ce soit trop long, que ça s'arrête.
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Je me trouve
apaisé.
Je trouve que cela m'apaise. Je trouve que tout cela m'apaise et je
nous vois magiques.
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Nous sommes
magiques dans
un lieu magique.
Et le
temps, de temps en temps, sans doute magique aussi.
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Mais il y a
aussi les
inextricables ténèbres qui viennent d'être agitées
et que je voudrais continuer d'essayer de dissiper en donnant du sens,
en disant le sens, juste
un peu de sens.
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Je voudrais que
nous regardions
un peu la mer. Je voudrais que nous regardions la mer doucement. Certaines
indications ne sont pas nécessaires.
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