Diégèse








mercredi 28 mars 2012



2012
ce travail est commencé depuis 4471 jours (17 x 263 jours) et son auteur est en vie depuis 18924 jours (22 x 3 x 19 x 83 jours)
ce qui représente 23,6261% de la vie de l'auteur
hier



L'atelier du texte demain















Ce qui s'écrit











Gustav Je me suis départi de ma mémoire et de mes souvenirs et je me suis ainsi retrouvé sans récits, sans plus de récits. Et je crois qu'ainsi, j'ai peut-être prouvé qu'il ne se passe jamais rien, que les récits qui forment notre vie et que nous agitons au quotidien brassent un imaginaire que notre faiblesse seule constitue en tant que réel. Depuis, je vis l'évidence, le temps qui va et qui vient autour du temps présent, ce temps présent qui, dans le calme, n'accepte pourtant pas toujours d'être présent.
Et vous, qu'est-ce que vous en pensez ?
Mathieu Je t'ai conseillé de raconter tes rêves, qui sont de la mémoire et qui sont autre chose, comme un autre scénario possible pour arriver à la même fin.
Noëmie Il y a aujourd'hui une douceur de voyage...
Daniel La première partie du film est terminée.
Gustav D'accord. Vous n'êtes pas obligés de répondre et vous pouvez tout aussi bien considérer que ma question est une question rhétorique, que c'est une question de discours, qui n'appelle pas plus de réponse qu'une question lancée par un présentateur de télévision, par une présentatrice de télévision. Je m'en moque et même... je m'en tape.










28 mars






2009 2008 2007 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000
J'ai peut-être prouvé qu'il ne se passe jamais rien. La première partie du film est terminée.
Mais vous n'êtes pas obligés de répondre et vous pouvez tout aussi bien considérer que c'est une question rhétorique, que c'est une question de discours, qui n'appelle pas plus de réponse qu'une question lancée par un présentateur de télévision, par une présentatrice de télévision. ... douceur de voyage...












2011 2010








Je lui conseillais de raconter ses rêves, qui sont de la mémoire et qui sont autre chose, comme un autre scénario possible pour arriver à la même fin. Je retiens l'évidence, le temps qui va et qui vient autour du temps présent, ce temps présent qui, dans le calme, n'accepte pourtant pas toujours d'être présent.