Diégèse | |||||||||
dimanche 24 juin 2018 | 2018 | ||||||||
ce travail est commencé depuis 6750 jours (2 x 33 x 53 jours) | et
son
auteur est en vie
depuis 21203
jours (7 x 13 x 233 jours) |
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ce qui représente 31,8351% de la vie de l'auteur | trois mille vingt-neuf semaines de vie | ||||||||
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Les livres de 2018 | |||||||||
Un long entretien | 175 | ||||||||
Qu'est-ce
qu'une vie ? Des conversations diverses, plus ou moins longues,
sur des sujets plus ou moins intéressants et plus ou moins
complexes ; quelques conversations conflictuelles et quelques
conversations amoureuses ou aimantes... Qu'est-ce qui manque après la
mort d'un être cher ? Un sourire, une présence, quelques notes de
musique fredonnées parfois, et surtout une conversation. Gustav Diégèse nous livre sous la forme d'une seule et unique conversation les secrets de sa relation amicale, intellectuelle et artistique avec un philosophe de ses amis qui aimait l'art. On comprend que le défunt a été son professeur de philosophie, mais que c'est l'art qui les a liés. En parcourant ce long entretien, le lecteur assiste et participe au mystère de la transmission. Car, cet ami n'enseigne rien à l'auteur. Il lui parle et il l'écoute, il l'écoute et il lui parle. Et quand une conversation cesse à jamais, demeure l'esprit de cette conversation, et c'est là le sujet de ce livre si émouvant. Car, l'auteur - ou le narrateur, car il s'agit d'une fiction - continue après la mort de son ami de lui parler, comme le font d'ailleurs tous les amis. |
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Gustav Diégèse | |||||||||
24 juin |
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Pourquoi cependant devrais-je évoquer cela et m'en souvenir ensuite ? | Tu ne comprendras donc jamais | un secret de fabrique | Tourner la tête, retourner, se retourner. | ce refus de l'indifférence | nous sillonnons la ville | Quand je viens vers toi, dans le jour | |||
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le ronronnement | une dictature de l'événement perpétuellement mis en scène | un long entretien | l'acceptation de l'ordre établi | Je ne souris pas. | C'est cela qui fatigue, la possibilité du réel. | Les personnages fatigués n'ont pas besoin d'auteur. | ton ensorcellement endormi |